La chasse au jutsu interdit... [EN COURS]

Permière partie

Comme d'habitude dans le ciel bleu dépourvu de nuage de Suna, le soleil reignait en maitre, provoquant de violente brulure à qui avait la stupidité de rester sous ses rayons. Même la brise habituelle avait laissé place à une séchresse affligante. Voilà le climat qui se trouvait dans le désert de Suna les mauvaises journées. Un climat normale pour un désert, diront ceux qui habites dans une forêt ou sur une île, mais il ne faut jamais se fier au préjger et autres à prioris, diront ceux qui y habite, dans ce désert, ou ceux qui y ont habité. Il y avait souvent un vent, même léger, qui venait rafraichir l'atmosphère. Hors, ce jour, il était totalement inexistant. Mais, à l'horizon se profilait une silhouette. Cette silhouette semblait marchait, sans vaciller, sans hésiter, comme si elle cherchait quelque chose, et que rien ne pourrait venir perturber sa quête. Comment quelqu'un ayant une certaine présence d'esprit pouvait-il se balader dans ce désert aride au paysage si dénué de n'importe quelle forme de vie ? La température n'aurait même pas permis à un chameau de marcher plus d'un kilomètres sans être éssouflé. En parlant de chameau, c'étaient bien les seuls animaux qu'on pouvait éspérer croiser ici. Et pas dans un jours comme ça. Donc Tazuki était surement la seule "forme de vie" présente dans ce désert. Mais celui-ci ne s'en souciait guère. Il marcher dans le désert, tel qu'il en avait eu l'habitude au temps ou il habitait à Suna. Il touran la tête. On ne voyait pasSuna d'ci. Le village qui l'avait accueillit, qu'il avait tant chérie, qu'il avait protégé. Mais il s'était ennuyé, et l'avait donc déserté. Tazuki ne regrettait en aucun cas ce choix, mais une chose lui manquait. Oui, une chose lui manquait cruellement depuis qu'il avait déserté Suna : les balades dans le désert. Il avait fini par le connaître par coeur ce désert. Oui, il aimait vraiment ça, les balades dans le désert...

Mais Tazuki n'était pas la pour se rappeler du passé, loin de là. Il avait un but précis en revenant dans le désert. Il n'était pas venu faire du tourisme, ni réintégrer les rangs de Suna, ni quoique ce soit d'autre, non. C'était fait, ce n'était plus à faire. On ne peut pas revenir en arrière pour réparer ses erreur, malheureusement. Sinon Tazuki en aurait surement déjà profité, avec toutes les erreurs qu'il avait fait dans sa vie. Enfin peut-être pas. après tout, il est bien connu que les erreurs font avancer. On apprends d'une erreur, et on fait bien attention à ne plus la refaire. Que serait le monde si personne ne faisait jamais d'erreurs ? Le monde dans lequel on vivait en ce moment était pourri. La coruption et le mal y reignaient, les hommes s'entretuer, attirés par le pouvoir. Pour prouver leur puissance, ils tuaient leur adversaire, mais finissaient bien par se faire tuer eu aussi, par leur propre adversaires. Voilà le cercle infernal de ce monde pourri ou reigne la mort. Mais, malgrès tout ça, il y à des choses qu'on ne trouve que dans ce monde pourri. Des choses bien plus importantes que le pouvoir ou la force. Des choses sans lesquels les personnes saines d'esprit ne pourrait surement pas survivre. Des choses tels qu'un foyers, que des gens qui vous accepte, et bien d'autres choses qui vous aides à tenir le coup. Tel est ce monde, dans un certain équilibre. Mais Tazuki s'éloignait une nouvelle fois de son but inicial. Peut-être les rayons du soleil l'empéchaient-ils de se conentrer. Alors que Tazuki commenceait à fatiguer à force de marcher comme ça en pensant à autre chose, une grande bourasque de vent lui arriva en pleine figure, le sortant de ses pensées, ébouriffant un peu plus ses cheuveux mal coiffés, et faisant voler son écharpe violette derrière lui. Quel étrange phénomène. Mais Tazuki se rendit compte ensuite que le climat venait de changer radicalement : la sechresse avait fait place à un petit vent rafraichissant. La nature réservait sont lots de surprises, et Tazuki ne s'en pleignait pas, au ontraire, un peu de fraicheur ne porrait lui faire qe du bien, elle appaiserait sa peau qui était devenu chaude et qui lui faisait mal. Il arrêta de marcher, ferma les yeux comme pour mieux apprécier le passage doux du vent sur son visage. Dans ces conditions, Tazuki avait retrouvé un peu de bonne humeur. Ca lui faisait du bien de pas être obligé de joer au méchant, mais il s'ennuyait un peu depuis qu'il était parti de l'Akatsuki. Il avait tout laissé derrièrelui. Ces coéquipiés, qui était même devenus des "amis". Et puis le plus important, le dernier liens fot qui lui restait : sa soeur jumelle qu'il aimé tant... Enfin bon, un fait est un fait. En plus, dans ces conditions, sa quête était bien plus facile...

Oui, en effet, il était venu dans le désert pour sa quête. Ce qu'il cherchait : un jutsu interdit et disparu depuis bien longtemps dont Tazuki avait entendu des rumeurs. Il avait alors quitté l'Akatsuki, et avait commencé sa quête d'informations. Elle s'était avéré assez fructueuse, mais extrèmement longue. Il avait souvent eu affaire à des escrocs, qu'il avait puni par la suite bien sur. Mais quelques informations s'était avéré exact. Il avait rassemblé toutes ces informations, puis avait commencer à chercher le jutsu lui-même. Plusieurs légendes vraissemblables disait que le jutsu était expliquer sur un rouleau scellé avec un très ancien sort, très puissant aussi. La seul chose sur c'était que ce rouleau étaitunique, il n'y en avait qu'un seul. Donc si quelqu'un l'avait déjà trouvé, avait apris la techniques et l'avait fait disparaitre, il était impossible d'appendre ce jutsu, sauf grâce à l'enseignement de la personne qui le maitrisait. Mais Tazuki ne se découragerais pas pour si peu, ce n'était pas son genre. Et puis, il savait même maintenant ou il se trouvait. Le seul problème était de trouver la façon de le prendre. Car ce rouleau se trouvait dans les profondeurs de la terre, en dessous du désert. Voilà le raison de la présencede Tazuki dans le désert. Tazuki avait donc réfléchit à la manière d'extraie l rouleau, et n'était allez chercher très loin. En effet, extraire des choses du sol, rien de plus facile pour lui avec son pouvoir. Il lui suffisait de chercher l'emplacement de ce rouleau avec son chakra, puis de concentrer son chakradans le étal qui se trouvait dans les parages du rouleau, de le faire prendre le rouelau et d'exraire le métal du sol. Oui, Tazuki avait pensé à tout pour pouvoir acuérir scejutsu. Celui-ci ce nommait, d'après les légende : "Tazuki no sekai" (l'univers de Tazuki), pour Tazuki bien sur. L'effet de ce jutsu était retoutable. Grâce à ce jutsu Tazuki, en un simple contact physique, pourrait envoyer quelqu'un dans un autre univers, un univers à la volonté de Tazuki. Dans cette univers, il pourrait tout faire. Reproduire n'importe quel paysage auquel il pensait, n'importe quel atmosphère, n'importe quel impression n'importe quel situation, n'impore quel être humain, enfin bref : n'importe quoi. Le seul condition était d'avoir en tête ce qu'il voudrait reproduire. Il était totalement impossible de sortir de cet univers, quoique soit la volonté de la victime ou sa motivation. Le seul moyen était que Tazuki perde connaissance ou meurt. Donc autant dire que ce serait pratiquement impossible.

Voilà pourquoi Tazuki voulait ce jutsu à tout prix. Un jutsu imparrable, et d'une puissance inouit...

Fin de la première partie

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